La mer de Cortez. J. Steinbeck.
samedi 29 août 2020 par
C’est drôle comme du Steinbeck mais c’est aussi un peu répétitif.
C’est l’histoire d’un chercheur en chimie, très apprécié, reconnu, aimé par ses collègues et amis. Il meurt dans un accident en passant sous un train. Le roman est une sorte d’oraison funèbre spontanée dite par ses amis qui racontent sa vie très arrosée et très farfelue. C’est drôle un moment mais quel que soit l’événement ça se termine toujours par une beuverie. C’est lassant.