La papeterie Tsubaki. Ogawa Ito.

Ce roman a déjà été présenté lors de l’article "les femmes qui lisent sont dangereuses" du 29 mars. Ce livre que nous a offert Chantal est un délice de raffinement.
Les personnages qui viennent à la papeterie Tsubaki pour commander une lettre à la jeune écrivaine publique, ont tous un histoire extraordinaire à lui raconter. Elle entre en empathie avec tous et tous lui en savent gré.
Elle, qui gardait le souvenir de sa grand-mère, comme une femme sévère, comprend qu’elle lui a transmis un savoir et un savoir faire tel un héritage.
Une correspondance avec une amie japonaise, qui vivait en Italie, lui apprend toute la tendresse que la vieille femme ressentait pour sa petite-fille. Elle l’a attendue à l’heure de sa mort. Hatoko, de son côté attendait un geste tendre qui n’est jamais venu.