Reconnaitre ses torts.

J’entendais ce matin, Hilary Clinton reconnaitre qu’il aurait fallu intervenir plus tôt en Syrie, aider les rebelles avant que le mouvement ne soit récupéré par le djihad.
Cela m’a fait penser que, sans les nommer, certains courants de pensée politique savaient reconnaitre leurs erreurs.
Cahuzac a su demander pardon devant la chambre des députés.
Fabius en avait fait de même dans l’affaire du sang contaminé.
Ce sont les exemples récents qui me viennent à l’esprit mais il doit y en avoir d’autres.
Dans certains partis, on se fait prendre la main dans le sac des contribuables mais on n’entend jamais le mot regret, excuses...
Par qui vaut-il mieux être gouverné ? Des gens honnêtes mais maladroits et inexpérimentés ou des filous habiles et arrogants ?