Encore la presse mais vue par Télérama

Cela réconforte toujours de constater que d’autres pensent comme vous.
J’ai déjà à plusieurs reprises exprimé ma colère contre la presse, donc je ne vais pas insister mais j’ai lu dans le courrier de Télérama, celui de Caroline Ruelle de Saint Martin le vineux, et j’ai apprécié d’entendre l’écho de ce que je répète souvent, l’information tue ou erronée. Quand les professeurs sont en colère, ce n’est pas la peine de leur renvoyer leurs congés. Les premiers instituteurs ont accepté d’être payés dix mois divisés par douze et aucun ministre et surtout pas celui qui voulait dégraisser le mammouth, n’a émis l’idée de revenir sur cette injustice. Ce ne sont pas les médias qui vont rappeler ce compromis parce que cela dérange. Il vaut mieux laisser croire que les enseignants sont toujours en vacances ou en grève, comme on le leur demande. Quant aux intermittents du spectacle ce ne sont que des saltimbanques qui réclament des droits semblables à ceux "des vrais travailleurs". Supprimons leur poste à la télé et on verra.
Je félicite Télérama pour son article sur l’info en continu. C’est très courageux pour un journal de faire apparaitre les dessous d’une information tronquée.
J’ai déjà écrit une chronique sur ce sujet, je renvoie à l’article paru dans le numéro 3363 de Télérama ou mes chroniques relatives à la presse : les dérives de la radio (8 juin), les commémorations du 6 juin (7 juin), le prince charmant à la télé (5 mai).