Les conventions de Genève. Les conventions de Genève.

mercredi 6 avril 2022 par Elisabeth

Les conventions de Genève et les protocoles additionnels contiennent les règles essentielles du droit international humanitaire, qui fixe les limites de la barbarie de la guerre. Ces traités protègent les personnes qui ne participent pas à la guerre, c’est à dire les civils, le personnel sanitaire, les organisations humanitaires, les blessés, les malades, les prisonniers de guerre.
La première convention date de 1864, revue en 1906, puis en1929.
La deuxième convention, de la Haye, a les mêmes principes mais elle s’adresse aux guerres maritimes. La troisième convention s’applique aux prisonniers de guerre. La quatrième protège les civils des territoires occupés.
Tous ces accords se trouvent résumés dans l’article 3 de la convention de Genève.
Il semblerait que même s’ils l’ont signée, peu de pays en guerre l’aient respectée.
Les Français en Algérie avec la torture, les viols et l’assassinat à bout portant. On l’a su après parce que les torturés ne pouvaient pas parler devant l’horreur subite, les autorités fermaient les yeux, On n’allait pas croire une femme, Gisèle Halimi, qui les dénonçait.
Seul, Le Pen s’en faisait une gloire. Respect et admiration à Emmanuel Macron d’essayer de réparer tous ces abus et guérir les plaies.
Les Américains au Vietnam et en Irak avec la torture et les viols, s’ajoute à cela le traitement des prisonniers de guerre à Guatanamo. C’était moins spectaculaire que ce qui s’est passé en Syrie et en Ukraine et Biden n’est pas responsable des crimes de Bush junior.
Les Russes en Syrie et en Ukraine et aux dernières nouvelles au Mali, commettent des crimes insupportables. Sans compter les assassinats, les empoisonnements, les déportations qui s’opèrent dans le pays.
Il faut croire que des gens sensés en temps de paix deviennent des bêtes féroces en temps de guerre. L’armée de métier atteint le mental des soldats jusqu’à la folie.
A présent, sauf ignorance de ma part,seul le "boucher de Belgrade" a été puni.
Bachar Al Assad a un mandat internatinal, donc il ne peut pas sortir de son palais mais il peut continuer de faire torturer.



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